THE QUALITY OF A GOOD SERVANT OF GOD
Introduction
Serviteur de Dieu, voilà un concept qui porte beaucoup de confusion actuellement dans le chef des hommes de Dieu. Il ne s’agit pas d’une balade verbale, mais un véritable sujet d’actualité. Nous devons comprendre ici que le Serviteur de Dieu, ce n’est pas la cravate, la toge ou la soutane. C’est tout un arsenal des comportements que l’on doit faire montre en tout temps, en tout lieu.
1Timothée 3.1 à 7, Tite 1.5-
Une réflexion qui s’adresse à tous
J’aimerais, aujourd’hui, pour vous aider dans votre réflexion, faire un survol des qualités d’un vrai serviteur de Dieu selon 1 Timothée 3 et Tite 1.
Comprenez bien que ces qualités sont celles d’un homme ou d’une femme mûr(e).
Vous désirez la croissance?
Vous aspirez à devenir une personne mûre?
Cette étude vous concerne, car chaque qualification est celle d’une personne qui a grandi dans la foi à la ressemblance de Jésus-Christ.
Il n’y a pas seulement les leaders qui doivent avoir ces qualités spirituelles, mais tous les enfants de Dieu sans exception.
Les leaders dans les Écritures
Depuis l’histoire du monde, Dieu a toujours dirigé son peuple au moyen d’hommes choisis et qualifiés. Exode 3:1-5
Que ce soit dans l’A.T. avec Abraham, Joseph, Moïse et les anciens, Josué, les Rois et les prophètes.
De même, dans les Évangiles, nous voyons, dans Luc 10.1, 70 disciples que Jésus envoie prêcher parmi le peuple d’Israël.
Les qualités d’un serviteur de Dieu
Nous voyons aussi, dans Matthieu 10.1, le choix des 12 apôtres.
Et même, parmi les apôtres, il y en a certains qui ont un rôle privilégié : Pierre, Jean et Jacques.
Ce principe ne fait pas exception dans les Actes des Apôtres.
Nous voyons toujours le rôle des 12 apôtres, mais à partir du chapitre 6, il y a la formation de 7 nouveaux serviteurs : Les diacres.
Une nuance est importante à faire en comparaison avec l’Ancien Testament à partir de ce point :
1. Jésus-Christ est le chef de son Église.
Jésus est le véritable chef de l’Église au-dessus de tous comme l’affirme Éphésiens 5:23 :
« Christ est le chef de l’Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »
Ou encore dans Colossiens 1:18 :
« Il est la tête du corps de l’Église; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier. »
Éphésiens 4.15-16 est encore plus clair :
« Mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. C’est de lui, et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s’édifie soi-même dans la charité. »
Donc, l’Église est comme un corps qui reçoit sa direction et sa nourriture de sa tête qui est Jésus-Christ.
L’Église n’est pas une simple organisation humaine.
Elle n’est pas une simple organisation parce que c’est un organisme vivant, un corps.
Elle n’est pas simplement humaine parce que sa tête est divine et donne à son corps la vie surnaturelle.
Donc, le modèle qu’une Église doit suivre ne doit pas être celui de ce monde, mais elle doit être structurée et dirigée selon le modèle de Christ. Exemple de Moïse Dieu lui a dit, fait selon le modèle que tu as vu dans la montagne
2. Tous font partie du même corps de Christ.
Lorsque vous devenez un enfant de Dieu par la nouvelle naissance, vous faites partie du corps de Christ.
Sans exception, vous recevez tous les privilèges de la famille de Dieu.
Vous recevez le même salut, le même héritage.
Ça n’existe pas des chrétiens de deuxième catégorie ou de première classe et de deuxième classe.
3. Tous les croyants ont reçu la Grace et le Don
Tous les membres du corps de Christ sont des serviteurs et des ministres comme le dit si bien 1 Pierre 2:9 :
« Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière »
De même, on peut lire dans Apocalypse 1.5-6 :
« De la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre!
À celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! Amen! »
Rien, dans le Nouveau Testament, ne fait référence à un sacerdoce particulier ou à un clergé qui exerce un rôle particulier entre les croyants et Dieu.
Pensons seulement à 1 Timothée 2:5 :
« Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme »
Chaque chrétien est un ministre.
Le mot « ministre » ne définit pas mon statut devant le gouvernement.
Il définit ma fonction et il définit votre fonction.
Éphésiens 4:12 dit que les pasteurs et les enseignants existent pour « équiper les saints pour le travail du ministère. »
Nous sommes tous des serviteurs mais nous ne sommes pas tous ministres, et nous sommes avec des fonctions différentes, mais aux yeux de Dieu nous sommes tous égaux.
4. Tous les croyants ont une tâche différente à accomplir.
Nous avons tous reçu des capacités spirituelles pour le bien commun du corps du Christ.
Dans la mesure où ces rôles ou dons sont reconnus et pratiqués, le corps de Christ est fort et en santé.
5. Le modèle de l’Église
Nous sommes tous égaux en position, mais en pratique, il y a des dons et des responsabilités qui sont plus stratégiques que d’autres.
Ainsi, Dieu appelle quelques membres de chaque Église pour nourrir, conduire et server l’Église comme des ministres de Christ.
Autrement dit, bien qu’il y ait égalité devant Dieu comme enfants et héritiers de Dieu, comme aussi les serviteurs et les ministres, certains, et pas tous, sont appelés par Dieu pour le servir en tant que Leaders.
Dans 1Corinthiens 12.28 et Éphésiens 4.11, Paul utilise l’expression : « il a été donné premièrement… apôtres, prophètes, évangélistes et pasteurs docteurs. »
Cette expression laisse sous-entendre que ces ministères sont cruciaux pour la santé d’une Église. De plus, dans la liste des dons spirituels de Romains 12, nous retrouvons aussi un don de présider ou diriger.
Littéralement, cela signifie : « Être à la tête! »
Avec les dons spirituels, nous retrouvons aussi des fonctions de direction dans l’Église. Tantôt ils sont appelés « anciens », « évêques » ou « pasteurs ».
Lorsque nous faisons une étude attentive des Écritures, nous constatons que ces trois titres sont interchangeables.
Par exemple, dans Actes 20.17 et 28, les termes « évêque » et « ancien » sont utilisés pour faire référence aux mêmes personnes.
Nous retrouvons le même principe interchangeable dans Tite 1.5 à 7.
Je crois que ces titres interchangeables nous instruisent sur les volets particuliers de leur ministère. Par exemple :
Ancien fait référence à la maturité de ces personnes.
Évêque fait référence à la responsabilité de surveiller.
Pasteur fait référence aux soins qu’ils doivent prodiguer.
Ainsi, lorsqu’il est question d’Évêque dans 1 Timothée 3.1 à 7, il est question d’une personne qui joue un rôle de leadership sur l’Église.
Ou soit une personne qui a la charge de d’autres ministères celui qu’on appelle Evêque comme je l’ai déjà mentionné, littéralement, le nom fait référence à « regarder au-dessus » qui pourrait aussi être traduit par «surveillant ». Tel un berger, ils sont placés dans l’Église pour surveiller le troupeau.
La position d’ancien n’était pas une forme de direction alternative qui a existé uniquement à l’époque de l’Église primitive.
Cette position a existé et a même pris son origine dans l’Ancien Testament à l’époque de Moïse.
Une autre information importante est que le mot « ancien » n’est jamais utilisé au singulier, mais toujours au pluriel. Ce qui laisse sous-entendre qu’il y avait toujours une pluralité d’anciens, un groupe de surveillants.
Tous, de façon unanime, dirigeaient le troupeau.
6. Le conducteur biblique
Jésus a souvent comparé le conducteur du monde au conducteur selon la volonté de Dieu.
Par exemple, dans Matthieu 20 à 23, un leader ne doit pas être :
a. Un dirigeant politique (qui recherche le pouvoir)
b. Un dictateur dominateur
c. Un meneur charismatique (qui manipule les foules)
Il y a une confrontation des modèles entre deux mondes.
Malheureusement, nous sommes trop souvent influencés par celui du monde.
Un leader selon le monde est une personne d’action, courageuse, énergétique, sûre d’elle, déterminée, indispensable, bon discoureur et idéaliste.
Cette personne dirige par précepte et puissance.
Mais selon Matthieu 20.26-27, les leaders bibliques doivent être des serviteurs/esclaves : « Il n’en sera pas de même au milieu de vous. Mais quiconque veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur; et quiconque veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave. »
Le plus grand des conducteurs a été Jésus-Christ lui-même et il est écrit à son sujet dans Matthieu 20:28 :
« C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs. »
Si les qualités d’un leader selon le monde sont apparentes et externes, les qualités d’un leader selon Dieu sont spirituelles et internes.
Ces qualités font référence principalement au caractère spirituel du leader.
Dieu est plus concerné par le caractère de ses serviteurs que par leur ministère ou leurs exploits.
7. Contexte de l’Épître
Paul avait fait un travail extraordinaire avec l’Église d’Éphèse.
Il a fondé et formé ses leaders pendant trois ans.
Mais après son départ, de faux leaders se sont introduits dans l’Église.
Après son emprisonnement à Rome, il est retourné faire face à ces loups.
Puis, il a établi Timothée comme pasteur de cette Église.
La lettre à Timothée est un testament pastoral.
Paul donne à Timothée toutes les informations nécessaires pour être un bon pasteur, un bon leader d’Église.
Au début du chapitre trois, nous retrouvons les qualifications que doivent avoir les leaders spirituels s’ils veulent un ministère en santé.
Ces qualifications ont été écrites dans le but de disqualifier les faux leaders.
8. Une parole certaine
Si nous étudions attentivement 1 Timothée 3.1 à 7, nous constatons que Paul introduit les qualités spirituelles et internes du leader ou du croyant mûr selon Dieu par trios affirmations importantes :
Premièrement, il déclare : « Cette parole est certaine!
Paul établit clairement les fondations. C’est clair : Celui qui désire diriger le peuple de Dieu doit correspondre à ces qualifications.
On peut discuter longuement sur le processus du choix d’un ancien, mais ce qui est le plus important, c’est qu’il corresponde à ces qualifications.
Le moyen est secondaire.
Ce qui fait une vraie différence, c’est que ce soit des hommes qualifiés.
Deuxièmement, Paul affirme : « Si quelqu’un aspire… »
Tout le monde peut aspirer à cette charge.
Et c’est même souhaitable d’aspirer à cette charge.
Dieu ne force pas ceux qui ne le désirent pas, mais il accueille avec joie ceux qui ont le cœur bien disposé.
Troisièmement, Paul ajoute un qualificatif avec ce désir. Il dit « qu’il doit désirer une œuvre excellent! »
Autrement dit, tu ne désires pas devenir un leader par plaisir ou par mauvais motif.
Dieu est très sévère à l’égard des serviteurs orgueilleux, infidèles ou égoïstes.
Par exemple, dans Jacques 3.1, il est écrit :
« Mes frères, qu’il n’y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se
Mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. »
Ou encore dans Hébreux 13.17 :
« Obéissez à vos conducteurs et ayez pour eux de la déférence, car ils veillent sur vos âmes comme devant en rendre compte; qu’il en soit ainsi, afin qu’ils le fassent avec joie, et non en gémissant, ce qui ne vous serait d’aucun avantage. »
Le principe est bien simple : La pureté dans l’Église ne peut débuter que par eux.
La sainteté dans l’Église ne peut commencer que par eux.
Tel conducteur, telle Église.
Le conducteur ne peut emmener l’Église plus loin et plus haut sans qu’il ait lui-même atteint cette spiritualité.
Le ministère, l’efficacité et le témoignage de n’importe quelle Église sont en grande partie le reflet de ses leaders.
Le principe d’Osée 4.9 ne peut pas être plus vrai :
« Il en sera du sacrificateur comme du peuple ! »
Normalement, les gens ne dépassent pas le niveau de leurs leaders.
Il y a une liaison inséparable entre le caractère d’une Église et la qualité de sa direction.
Les leaders doivent être un exemple de piété que l’Église suivra.
Jésus a dit dans Luc 6.40 :
« Le disciple n’est pas plus que le maître; mais tout disciple accompli sera comme
son maître. » Paul a recommandé vivement aux Corinthiens « d’être ses imitateurs » (1 Corinthiens4.16, 1 Corinthiens 11.1).
Aux Philippines, il a écrit : « Ce que vous avez appris, reçu et entendu de moi, et ce que vous avez vu en moi, pratiquez-le. Et le Dieu de paix sera avec vous. » (Philippines 4.9)
9. Les qualités générales
Paul introduit les qualifications par une qualité générale : « Il faut qu’il soit irréprochable! » Irréprochable ne veut pas dire « parfait », mais le sens est le suivant : « Non exposé à être attaqué! » Il ne doit pas être soumis à des accusations.
Sa conduite doit être telle qu’elle ne permet à personne de compromettre sa réputation.
Malheureusement, pour beaucoup trop de chrétiens, ces qualités ne veulent rien dire.
Ces qualifications ont perdu leur saveur et leur référence. Et pour d’autres, ces qualités sont presque interprétées comme la perfection.
Ce sont deux extrêmes à éviter.
Irréprochable signifie :
« Caractérisé par ses qualités ».
C’est le parfum qui se dégage de la vie de ces personnes.
Transition :
Par la suite, Paul nous donne une série de qualifications pour évaluer ceux qui aspirent à la charge d’ancien.
Ces qualifications, selon 1 Timothée 3.1-5 et Tite 1.5 à 7, peuvent être divisées en cinq catégories.
Tout homme qui aspire à la charge d’évêque doit répondre à ces qualifications afin d’être un modèle pour le troupeau.
Rappelons-nous aussi que ces qualifications sont celles aussi d’un croyant mûr.
Nous devons tous les rechercher dans nos vies.
Les qualifications selon sa foi
1. Il doit être juste dans sa doctrine
L’idée n’est pas d’être un dictionnaire biblique sur deux pattes.
Mais plutôt qu’il connaît les principes fondamentaux de la foi.
Non seulement il a une fondation, mais elle est juste.
Une personne qui a toujours persévéré dans la foi, qui est stable.
La constance a marqué sa vie.
2. Apte à l’enseignement
La maturité est nécessaire, car l’ancien devra partager sa connaissance et son expérience.
«Aptes à l’enseignement» signifie «d’être capable de transmettre à l’autre ».
L’enseignement ne se fera pas nécessairement du haut de la chair, mais peut se faire de un à un comme le dit 2 Timothée 2.2 :
« Et ce que tu as entendu de moi en présence de beaucoup de témoins, confie-le à des hommes fidèles, qui soient capables de l’enseigner aussi à d’autres. »
Tite 1.9 nous dit que l’ancien est capable de réfuter les contradicteurs, de défendre le troupeau.
De même, il n’y a pas seulement les anciens qui doivent être mûrs dans la foi, mais tous les croyants sont invités à grandir comme nous dit Éphésiens 4.14-15.
La responsabilité du Pasteur Docteur est d’instruire et de perfectionner le peuple de Dieu : « Jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance au Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ, afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction »
II. Des qualifications selon sa maturité
1. Pas un nouveau croyant
1 Timothée 3.6 affirme qu’il ne faut pas qu’il soit un nouveau converti.
Cette expression veut dire littéralement « pas une nouvelle plante ».
Le titre « ancien » lui-même laisse sous-entendre l’expérience, la sagesse et le facteur temps.
Littéralement, cela signifie « vieillard » ou « vieille femme ».
1 Timothée 3.10 affirme aussi : « Qu’on les éprouvent d’abord! »
Le temps éprouve les gens. C’est l’idée de voir de quelle façon ils vont réagir au milieu de l’action. Comment vont-ils réagir devant l’épreuve, les critiques?
Vont-ils être fermes, persévérants, craintifs ou découragés?
Sont-ils soumis et respectueux devant les autorités, particulièrement lorsqu’elle est Injuste? Jacques 1.3 affirme que les épreuves sont un test pour notre foi.
Ces préparatifs sont importants, car ils nous protègent des orgueilleux, de ceux qui ne devraient pas être à cet endroit de direction.
Laissez-moi vous dire que l’orgueil a détruit plus d’une Église.
Voilà pourquoi le chemin de la sanctification est bon et utile.
Tu apprends l’humilité.
1 Pierre 5.5 affirme, après avoir donné ses recommandations aux anciens :
« Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. »
Proverbes 18.12 traite aussi de la même pensée :
« Avant la ruine, le cœur de l’homme s’élève; Mais l’humilité précède la gloire. »
De même, chaque croyant est appelé à quitter l’état d’enfance pour celui d’adulte dans la foi comme le reproche Hébreux 5.12 aux vieux chrétiens encore des bébés :
« Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore
Besoin qu’on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en êtes venus à avoir besoin de lait et non d’une nourriture solide. »
Conclusion
Les différentes qualités développées dans les pages précédentes de notre présent exposé constituent des grandes lignes de la conduite des hommes de Dieu.
Comme au début de notre propos, il ne s’agit pas de mettre des ornements pontificaux pour être reconnu Serviteur de Dieu, ni d’avoir de grands instruments de sonorisation, ou encore d’avoir derrière soi des foules des fidèles.
Etre Serviteur de Dieu, c’est savoir conduire le peuple de Dieu, en toute humilité et en respectant les principes divins tels qu’énoncé ci-dessus.
A Dieu soit la gloire.
Révérend Daniel Nimi
Senior pastor of community